3,4%... comme l’inflation sous-jacente (*) pour la zone Euro au mois de décembre.
Elle poursuit sa baisse après avoir plafonné à 5,7 % en mars 2023.
La hausse des taux de la BCE a contribué au ralentissement de l’activité et à la modération des prix. Les anticipations d’inflation se basent sur un objectif autour de 2,5% en 2024.
Les taux d’intérêt sur les obligations d’entreprise de qualité se situant à 3,8 %, les investissements obligataires permettent aujourd’hui de préserver la valeur réelle du patrimoine sur un horizon de 3/4 ans.
* L’inflation sous-jacente est une mesure de l’inflation qui exclut les composantes volatiles (Energie, alimentation, alcool et tabac). Elle vise à mesurer la partie de l’inflation liée aux processus de production.
Depuis le début de l'année, le CAC 40 recule de -2 %, tandis que l'EuroStoxx 50 progresse de 9 %, le DAX, malgré les problèmes économiques allemands, de 15 % et l'IBEX (indice de la bourse espagnole) de 20 % (performances dividendes réinvestis).
Les derniers chiffres économiques publiés montrent que l'inflation diminue et l'activité patine en zone Euro. En conséquence, la Banque Centrale Européenne qui a commencé à baisser ses taux d'intervention (3,5 % au 16/10/2024) devrait poursuivre ce mouvement dans les trimestres à venir. En 2025, les marchés escomptent qu'ils se situeraient autour de 2 %. Alors quelles en sont les implications en matière d'investissement et d'allocation d'actifs ?
20,97, c'est le niveau de l'indice V2X au 4 octobre 2024. Cet indicateur mesure la volatilité sur les marchés d'option de l'Euro Stoxx 50. Il donne une information sur le degré d'incertitude ressenti par les acteurs du marché boursier.
Selon le rapport de l’emploi publié par la société ADP(*), les créations d’emplois aux États-Unis se seraient élevées à 99 000 au mois d’août. Cela correspond au niveau le plus faible observé depuis le mois de janvier 2021. Ce chiffre est cohérent avec la hausse du taux de chômage à 4, 3% en juillet observée depuis quelques mois. Il corrobore un scénario d’accalmie des tensions qui ont marqué le marché du travail au cours des deux dernières années.
Nvidia semble inarrêtable. Sa percée en Bourse laisse même les plus optimistes pantois : elle pèse, désormais, 2 975 milliards de dollars environ (environ 2 730 MM€), tout juste 10MM$ derrière une « Apple » qui pourrait bien se voir rapidement croquer.
L’impôt sur le revenu (IR) assure 26 % des recettes de l’État.