8 mars 2024

Regards croisés - Laetitia Medard, Manager Grands Comptes au sein de Generali, pour la branche partenariats bancaires

Laetitia Medard, est actuellement Manager Grands Comptes au sein de Generali, pour la branche partenariats bancaires. C’est avant tout une femme aux multiples facettes : passionnée et investie, elle aime sans cesse relever de nouveaux défis. Impliquée dans la cause féminine et plus particulièrement pour la place de la femme dans la société et dans l’entreprise, Laetitia est impliquée au sein de Generali dans « Les Elles ». 

À l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, Jérôme Tougard, Directeur Général Délégué de Zenith Investment Solutions, a eu le plaisir d’échanger avec elle et nous livre cette interview.

Tout d’abord et en quelques mots, qui êtes-vous ?

Je suis une femme très active avec une vie personnelle et professionnelle bien remplie. De nature passionnée, investie, compétitrice, sportive, j’aime et j’ai besoin de relever les défis pour me réaliser. Je suis Responsable Commerciale d’une très belle équipe de 12 personnes que j’ai façonnée à mon image depuis 2016. Une équipe soudée, experte, professionnelle et résolument orientée client dont je suis extrêmement fière.

La cause féminine est un sujet qui vous anime, pourquoi ? 

Je suis née dans une famille entourée de garçons, autant vous dire que pour exister, il fallait jouer des coudes ! Pour moi, la position de la femme dans la Société et dans l’entreprise, a toujours été un sujet et c’est pourquoi dès 2012 je me suis investie dans « Les Elles » de Generali.

Au-delà des sujets sociétaux d’égalité des chances et de reconnaissance des femmes, je crois véritablement que l’éducation et l’indépendance financière sont clés pour que les femmes puissent être libres d’exister par elle-même. Ma grande frustration était de travailler à l’Épargne chez Generali, d’avoir un diplôme en Gestion de Patrimoine, et ne pas pouvoir mettre à disposition ces compétences au profit des collaboratrices de Generali. 

Et puis l’année dernière, j’ai rencontré une personne qui avait pour projet le développement d’une plateforme digitale dont l’objectif était d’accompagner les femmes, au travers de coaching personnel, de Masters class, de contenus adaptés, à prendre le temps de mieux se connaitre, d’identifier précisément ses projets et à trouver des solutions d’investissements pour réaliser ces projets. 

Nous avons très rapidement signé un partenariat et j’ai proposé à ma Direction Générale d’offrir aux collaboratrices de Generali cette expérience. Les convaincre n’a pas été un long fleuve tranquille, mais j’ai rapidement eu l’adhésion et l’appui du Comité Exécutif de Generali France, que je remercie vivement pour sa bienveillance et son engament dans ce parcours. Pour le moment, nous sommes à la phase de test, si celui-ci est concluant, l’offre sera proposée à 400 femmes de Generali. Espérons que ce sera un succès !

Pouvez-vous nous en dire plus sur les relations entre Generali et Zenith Global Solutions ?

Notre partenariat avec Zenith Global Solutions et plus largement avec le Groupe Crystal est historique et Stratégique pour Generali. Nous avons d’excellentes relations basées sur la confiance et le franc-parler… les sujets sont parfois « challenging », le timing serré, mais nous arrivons systématiquement, ensemble, à transformer l’essai ! Les équipes de Zenith Global Solutions ont de véritables enjeux de développement, et Generali répondra présent pour les accompagner au mieux dans leur stratégie et dans la mise en marché de leurs innovations. C’est une évidence pour nous !

Le mot de la fin, “Value for money” ?

Promu par l’ACPR et France Assureurs, le dispositif Value For Money vise à renforcer la protection des épargnants en déréférençant les unités de comptes (UC) des contrats d’assurance-vie dont le critère Frais/Performance sortent du cadre. Au total, chez Generali, 5 000 fonds ont été scannés afin de déterminer leur pertinence sur le marché. Nous avons porté une attention particulière aux parts dont les frais appliqués dépassaient d’un tiers la moyenne des frais de leur catégorie, et dont les performances sur cinq ans se situaient en dessous de la moyenne du marché de leur catégorie, de celles dont l’encours total restait inférieur à 100 000 € après 24 mois de commercialisation.

Sur le périmètre étudié, 7 % des fonds ressortent du fait du critère Frais/Performance, soit 300 fonds, et 18 % avec le critère de fonds pas ou peu investis, soit un peu plus de 900 fonds. 

Jérôme Tougard

Directeur Général Adjoint