C’est le montant des encours globaux sous gestion en France, soit une hausse annuelle de + 6%.
Dans le détail, les 700 sociétés de gestion françaises gèrent un encours via les OPC (OPCVM et FIA) de 2 279 milliards d’euros, tandis que les mandats de gestion qu’elles pilotent, approchent quant à eux, les 1 500 milliards d’euros.
À noter que la gestion financière en France d’OPC de droit étranger dépasse les 880 milliards d’euros, soit un triplement des encours sur les dix dernières années.
L’innovation et la qualité des services délivrés par les sociétés de gestion françaises sont reconnues au niveau international. Cette reconnaissance leur permet ainsi d’occuper la première place de l’Union européenne, avec une part de marché estimée à 31 %.
Depuis le début de l'année, le CAC 40 recule de -2 %, tandis que l'EuroStoxx 50 progresse de 9 %, le DAX, malgré les problèmes économiques allemands, de 15 % et l'IBEX (indice de la bourse espagnole) de 20 % (performances dividendes réinvestis).
Les derniers chiffres économiques publiés montrent que l'inflation diminue et l'activité patine en zone Euro. En conséquence, la Banque Centrale Européenne qui a commencé à baisser ses taux d'intervention (3,5 % au 16/10/2024) devrait poursuivre ce mouvement dans les trimestres à venir. En 2025, les marchés escomptent qu'ils se situeraient autour de 2 %. Alors quelles en sont les implications en matière d'investissement et d'allocation d'actifs ?
20,97, c'est le niveau de l'indice V2X au 4 octobre 2024. Cet indicateur mesure la volatilité sur les marchés d'option de l'Euro Stoxx 50. Il donne une information sur le degré d'incertitude ressenti par les acteurs du marché boursier.
Selon le rapport de l’emploi publié par la société ADP(*), les créations d’emplois aux États-Unis se seraient élevées à 99 000 au mois d’août. Cela correspond au niveau le plus faible observé depuis le mois de janvier 2021. Ce chiffre est cohérent avec la hausse du taux de chômage à 4, 3% en juillet observée depuis quelques mois. Il corrobore un scénario d’accalmie des tensions qui ont marqué le marché du travail au cours des deux dernières années.
Nvidia semble inarrêtable. Sa percée en Bourse laisse même les plus optimistes pantois : elle pèse, désormais, 2 975 milliards de dollars environ (environ 2 730 MM€), tout juste 10MM$ derrière une « Apple » qui pourrait bien se voir rapidement croquer.
L’impôt sur le revenu (IR) assure 26 % des recettes de l’État.