L’impôt sur le revenu (IR) assure 26 % des recettes de l’État.
Les recettes fiscales de l’État proviennent principalement des impôts, qui forment plus de 95 % des recettes totales au profit de plusieurs affectataires : l’État (56 %), les administrations publiques locales (27 %) et les administrations de Sécurité sociale (17 %).
Une des sources de ces recettes est l’Impôt sur le Revenu (IR) qui représente, tel que projeté cette année, 94 milliards d’euros.
Pour autant, aussi important que soit ce chiffre, il ne représente qu’un peu plus d’un quart des recettes fiscales nettes, derrière la TVA, qui, quant à elle, devrait assurer à la France un peu plus de 100 milliards d’euros en 2024.
L’Impôt sur le Revenu (IR) est un impôt concentré. En effet, un peu moins de la moitié des 40 millions de foyers fiscaux le payent, conséquence logique du barème progressif. Sur la population des payeurs de l’Impôt sur le Revenu, 10 % des foyers les plus aisés s’acquittent de 75 % des recettes de la note globale.
Depuis le début de l'année, le CAC 40 recule de -2 %, tandis que l'EuroStoxx 50 progresse de 9 %, le DAX, malgré les problèmes économiques allemands, de 15 % et l'IBEX (indice de la bourse espagnole) de 20 % (performances dividendes réinvestis).
Les derniers chiffres économiques publiés montrent que l'inflation diminue et l'activité patine en zone Euro. En conséquence, la Banque Centrale Européenne qui a commencé à baisser ses taux d'intervention (3,5 % au 16/10/2024) devrait poursuivre ce mouvement dans les trimestres à venir. En 2025, les marchés escomptent qu'ils se situeraient autour de 2 %. Alors quelles en sont les implications en matière d'investissement et d'allocation d'actifs ?
20,97, c'est le niveau de l'indice V2X au 4 octobre 2024. Cet indicateur mesure la volatilité sur les marchés d'option de l'Euro Stoxx 50. Il donne une information sur le degré d'incertitude ressenti par les acteurs du marché boursier.
Selon le rapport de l’emploi publié par la société ADP(*), les créations d’emplois aux États-Unis se seraient élevées à 99 000 au mois d’août. Cela correspond au niveau le plus faible observé depuis le mois de janvier 2021. Ce chiffre est cohérent avec la hausse du taux de chômage à 4, 3% en juillet observée depuis quelques mois. Il corrobore un scénario d’accalmie des tensions qui ont marqué le marché du travail au cours des deux dernières années.
Nvidia semble inarrêtable. Sa percée en Bourse laisse même les plus optimistes pantois : elle pèse, désormais, 2 975 milliards de dollars environ (environ 2 730 MM€), tout juste 10MM$ derrière une « Apple » qui pourrait bien se voir rapidement croquer.
C'est le niveau des taux 10 ans sur les obligations du trésor US au 08 avril 2024.