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À LA UNE

 

Fin de la loi Pinel en 2025 : anticipez avec le dispositif Malraux

À compter du 1ᵉʳ janvier 2025, la loi Pinel sera officiellement supprimée, mettant fin à une période de défiscalisation immobilière qui aura duré une dizaine d'années. Aucun dispositif de remplacement n'est prévu ce jour, marquant en ce sens une rupture avec les politiques immobilières mises en œuvre depuis la loi Méhaignerie du 23 décembre 1986.

Comment revenir sur les marchés actions via les produits structurés ?

L’incertitude politique et fiscale née en France suite à l’annonce de la dissolution de l’Assemblée Nationale a légitimement inquiété les investisseurs. L’incertitude politique et fiscale née en France de suite à l’annonce de la dissolution de l’Assemblée Nationale a légitimement inquiété les investisseurs. Dans ce contexte, l’indice CAC 40 a rapidement effacé ses gains du début d’année puis s’est enfoncé dans le rouge, début août, dans le sillage des autres bourses mondiales. Depuis lors, il est revenu en territoire positif, bien aidé par une inflation en baisse et un discours de la FED qui ne laisse plus vraiment de doute sur une 1ʳᵉ baisse des taux US en septembre.

Hausse de la volatilité : Il faut savoir raison garder...

Le démarrage du mois d’août nous inflige une baisse de 8 % des actions internationales entre le 2 et le 5 août, et les mouvements erratiques depuis propulsent la volatilité à la hausse (>30). Si nous comprenons certaines inquiétudes, ces mouvements ne remettent pas en cause notre scénario central de désinflation progressive et de ralentissement mesuré de la croissance américaine, ni les stratégies que nous y avons associées.

La liquidité des produits financiers : cas des structurés

Les produits d’épargne sont souvent classés par catégories. On oppose ainsi classiquement l’épargne financière (émanant de produits d’épargne financière), aux produits immobiliers, ou encore les produits bancaires, aux produits d’assurance / retraite. Grâce à l’émergence des fonds de capital investissement à destination des particuliers et à cause des déboires récents de certaines SCPI, une opposition commence à naître entre les produits d’épargne liquides et illiquides.

Le chiffre du mois : 5,16 %

C'est le rendement moyen de notre gamme SCPI en 2023 vs 4,52 % pour le rendement moyen de l'intégralité des SCPI du marché en 2023*

Les banques centrales restent à la manœuvre ; Les résultats à la rescousse

Le taux d’emprunt à 10 ans aux États-Unis a connu un nouveau rebond cette semaine à 4,30% alors que la Fed a réitéré sa volonté de ne pas vouloir se précipiter pour baisser ses taux directeurs. Bien que les progrès constatés sur les fronts de l’inflation et de l’emploi restent encourageants, les membres de la Réserve Fédérale affichent une prudence compréhensible à l’idée d’une détente trop rapide des conditions de financement. Un mouvement trop rapide ou trop prononcé pourrait en effet relancer la spirale inflationniste, balayant ainsi tout ou partie des efforts réalisés jusqu’ici.

Mais que se passe-t-il sur les 10 ans américain ? ; L'Europe aperçoit-elle une lumière au bout du tunnel ?

Moins évidente à appréhender que celle du marché actions, la dynamique actuellement à l’œuvre sur le marché obligataire américain offre un regard sur les défis auxquels la première économie mondiale doit faire face. Le fait que l’indice S&P 500 vienne d’inscrire de nouveaux records historiques en franchissant le seuil symbolique des 5000 points laisse à penser que les investisseurs sont confiants dans l’avenir des entreprises outre Atlantique. Mais pourquoi ne retrouve-t-on donc pas cette dynamique sur le marché obligataire ?

2024, une année normale ?

La tentation est grande, après une année 2023 de bonne facture, de temporiser et conseiller aux clients particuliers de réduire les risques sur les allocations à un moment où l’activité économique ralentit.

Jerome Powell corrige la copie des opérateurs ; La zone évite la récession !

Les semaines se suivent… et se ressemblent dans les salles de marchés, alors que les derniers jours ont été marqués par une volatilité persistante en lien avec les préoccupations croissantes liées à l'inflation. Les investisseurs ont en effet réagi aux indicateurs économiques, notamment aux chiffres de l'emploi aux États-Unis, qui ont dépassé les attentes… ce qui a pu également alimenter les craintes d'une politique monétaire plus stricte.

Placements financiers : quelles perspectives pour 2024 ?

2023 est déjà loin derrière nous… Alors que reste-t-il d’une année d’attentisme influencée par la hausse des taux et d’une épargne sans risque rémunératrice ? Certaines classes d’actifs financiers ont su tirer leur épingle du jeu, mais prenons le temps de balayer les principales classes d’actifs et leurs perspectives !

Bilan et remise des compteurs à zéro. Convictions pour 2024.

2023 aura été finalement une bonne année pour les marchés actions avec quelques faits marquants. Nous retiendrons une performance marquée en deux temps : un début d’année avec la poursuite d’un retour à une meilleure fortune post crise de 2022 et, en fin d’année, des anticipations d’assouplissement des politiques monétaires en 2024 motivées par un combat contre l’inflation. Mais une nouvelle année commence et une nouvelle page boursière est à écrire…

Les regards toujours tournés vers l'inflation... ; Les cryptos monnaies à un carrefour !

D'après le Département du Travail, l'indice des prix à la consommation américain a augmenté de 3,4% en décembre sur un an glissant. La publication à 14h30 ce jeudi du taux d'inflation américain CPI de décembre était, comme souvent en 2023, l’attraction principale de la semaine dans les salles de marché.

Le chiffre du mois : 24 % vs 14 %

Comme la différence de performance du S&P500.

Une fin d'année en fanfare ; Les grands "Paris" des investisseurs pour 2024

Les places financières ont enregistré des records en cascade la semaine dernière, à la suite des ‘statu quo’ des banques centrales des deux côtés de l’Atlantique et du nouveau reflux de l'inflation américaine. L'appétit pour le risque reste donc intact à l'approche des fêtes de Noël, période traditionnellement propice aux marchés actions. Les opérateurs ont néanmoins préféré le discours de Jerome Powell à celui de Christine Lagarde, jugé plus accommodante.

Quand la Fed nourrit le rallye de noël... ; La BCE plus neutre

Ardemment souhaité par les investisseurs, mais pas nécessairement toujours au rendez-vous, le « rallye de Noël* » semble bien avoir lieu en cette fin d’année 2023. S’il est d’ordinaire de coutume d’utiliser cette expression boursière pour commenter les performances des marchés actions en cette période, le rebond est cette fois ci particulièrement impressionnant sur les marchés obligataires… et pour cause ! Le scénario de désinflation semble s’être accéléré de manière importante depuis la mi-octobre. Surtout, les anticipations optimistes des économistes ont depuis trouvé écho dans les propos des banquiers centraux.