Alors que les banquiers centraux de la zone euro se réuniront pour la dernière fois de l’année civile la semaine prochaine, certains d’entre eux ont choisi ces derniers jours d’envoyer quelques signaux (précurseurs ?) aux investisseurs. Sans surprise, la fin de la hausse des taux apparait désormais comme un scénario certain, comme un symbole de l’amélioration constatée sur le front inflationniste. Une trajectoire désinflationniste qui s’est finalement accélérée plus rapidement que prévu ces derniers mois… et qui devrait permettre, selon le Président de la Banque de France François Villeroy de Galhau, de redonner du pouvoir d’achat aux agents économiques, ménages en tête.
En des temps pas si lointains, le risque de déflation constituait la préoccupation majeure des intervenants de marché. Les conséquences de la crise sanitaire et du redémarrage des économiques qui suivit, et qui s’apparenta bien davantage à une économie d’après-guerre (remise en état de marche des appareils de production) qu’à une reprise cyclique classique, ont plus que bousculé cet ordre établi…
4,5 %... comme le seuil sous lequel le 10 ans US est repassé sous l’effet des bonnes nouvelles économiques.
Alors que les banquiers centraux de la zone euro se réuniront pour la dernière fois de l’année civile la semaine prochaine, certains d’entre eux ont choisi ces derniers jours d’envoyer quelques signaux (précurseurs ?) aux investisseurs. Sans surprise, la fin de la hausse des taux apparait désormais comme un scénario certain, comme un symbole de l’amélioration constatée sur le front inflationniste. Une trajectoire désinflationniste qui s’est finalement accélérée plus rapidement que prévu ces derniers mois… et qui devrait permettre, selon le Président de la Banque de France François Villeroy de Galhau, de redonner du pouvoir d’achat aux agents économiques, ménages en tête.
En des temps pas si lointains, le risque de déflation constituait la préoccupation majeure des intervenants de marché. Les conséquences de la crise sanitaire et du redémarrage des économiques qui suivit, et qui s’apparenta bien davantage à une économie d’après-guerre (remise en état de marche des appareils de production) qu’à une reprise cyclique classique, ont plus que bousculé cet ordre établi…
4,5 %... comme le seuil sous lequel le 10 ans US est repassé sous l’effet des bonnes nouvelles économiques.
L’AMF a exigé des sociétés de gestion une mise à jour des valeurs d'expertise des SCPI à mi-année et au plus tard pour septembre 2023. À la suite de cette démarche, nous avons audité 50 % des sociétés de gestion du marché et de nombreuses SCPI qui représentent 80 % de la capitalisation du marché.
Fondateur d'123 IM et d'October, Olivier Goy est diagnostiqué de la maladie de Charcot en décembre 2020. Olivier ne cesse, depuis lors, de multiplier les initiatives pour faire connaître cette pathologie, éveiller les consciences sur le regard de l’autre et accélérer la recherche.
Tout au long de la dernière décennie s’est observée une montée en puissance des actifs privés au sein des allocations. Terrain de jeu initial des institutionnels et des familles fortunées, la clientèle privée contribue depuis peu à la croissance de ce marché, en quête de rendement et las de la volatilité des actifs côtés. Son besoin d’accompagnement demeure toutefois nécessaire pour une élaborer un programme d’investissement adapté sur le long terme.