Les craintes sur les risques inflationnistes se sont estompées au cours des dernières semaines.
Dans ce contexte, les taux obligataires ont amorcé un reflux dans l'idée que les banques centrales devraient mettre un terme à la hausse des taux et pourraient s'engager dans une baisse de leur taux d'intervention en 2024.
L'incertitude demeure sur le rythme et l'ampleur du ralentissement économique de part et d'autre de l'atlantique, conditionnant ainsi la date des changements de politique monétaire.
Les marchés actions ont bénéficié de cet environnement.